Les syndicats CGT sont empêchés de contrôler le processus de vote, UTILISER, SC, bien qu'ils soient majoritaires dans de nombreux lieux de travail.
L@s 9.000 Les travailleurs d'Atento n'ont pas été en mesure de décider librement d'approuver ou non l'ERE signé par l'entreprise, CCOO et UGT. Ils n'ont forcé qu'une partie de l'équipe à décider, Ceux qui ont été touchés par l'ERE avec des noms et prénoms publiés précédemment, et la question qui a été posée est de l'avaler ou d'accepter l'accord ou vous serez viré avec ce qui est établi par la législation en vigueur et la réforme du travail; sans alternative pour lutter pour le maintien de l'emploi. Ils n'ont pas non plus pu voter 3.690 travailleurs des deux campagnes touchés par l'ERE, seulement ceux qui vont être licenciés.
Le droit de décider librement a été volé. Au moment où la question se pose avec les noms et prénoms des licenciés sur la table, le droit de libre décision sans pression est usurpé, la main-d'œuvre a été soumise à un stress excessif en raison de pertes d'emplois insensées. Il est incompréhensible qu'il y ait des licenciements alors que les charges de travail augmentent actuellement et récupèrent le travail qui a été fait en Amérique du Sud, faisant de nouvelles embauches.
La présence dans la salle de vote des syndicats qui ont affiché leur rejet de l'ERE n'a pas non plus été autorisée., des difficultés ont été posées aux délégués du comité d'entreprise des syndicats CGT, USE et STC à transmettre au personnel les arguments contraires à l'ERE, Cependant, l'entrée sur les lieux de travail a été facilitée pour les personnes extérieures à l'entreprise appartenant à l'appareil syndical CCOO et UGT, lorsqu'il est attentif, il a dû être dénoncé à plusieurs reprises pour avoir opposé son veto à l'accès aux différents lieux de travail des représentants syndicaux CGT, être condamné Attentif à une amende de 6000 euros pour atteinte à la liberté syndicale. Bref, un tandem s'est formé entre l'entreprise, CCOO et UGT pour obtenir un résultat, dans un référendum bâclé qui a souffert des garanties minimales pour qu'il soit la libre expression de tous les travailleurs.
La CGT a déposé et déposera les plaintes correspondantes tant devant l'inspection du travail que devant les tribunaux sociaux et nous démontrerons toutes les irrégularités qui ont été commises en violation à la fois du droit de décider et de la liberté d'exercer ce droit sans pression.
Le changement de position de CCOO et UGT est totalement incompréhensible, coïncidant avec celui maintenu par le reste des syndicats depuis le premier jour de l'ERE, rendre public que les causes alléguées par l'entreprise étaient inexistantes. ni n'était ni n'existe, aucune cause productive, organisationnelle ou économique.
CGT on essaie de comprendre un changement de position aussi brutal de ces deux "syndicats", nous venons de penser, que les deux machines syndicales (CCOO et UGT) ils ont tant de besoins de libérations après les coupes qu'ils ont subies dans les subventions à la formation, qu'ils demandent aux entreprises la constitution de "commissions de contrôle" dans lesquelles on leur accorde des affiliés dédiés au "contrôle du respect de l'accord" mais cela masque vraiment l'octroi de la libération syndicale. Nous n'en avons pas la preuve mais nous ne trouvons pas beaucoup de justifications pour un changement d'arguments, lorsque par coïncidence dans l'accord, ils se voient attribuer six postes pour la commission de suivi.
LES EMPLOIS NE SONT PAS A VENDRE, LES EMPLOIS SE DÉFENDENT!!!
La source cgt.org.es
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