Communiqué de presse du secteur social de la CGT
ASSEZ D'IMPUNITÉ POUR JUSTIFIER L'ENTREPRISE DES ENFANTS À RISQUE
De la CGT Secteur Social, nous tenons à exprimer ce qui suit au sujet des déclarations du conseiller Dolors Bassa, suite à nos réclamations:
M. Calvo, Le directeur général de la DGAIA et le conseiller Bassa nous accusent de diffamation. Malheureusement ce n'est pas de la diffamation, nous dénonçons le cursus objectif de M. Calvo.
M. Calvo et le conseiller Bassa dans leurs déclarations sont oubliés (volontairement ou involontairement) que Ricard Calvo n'était pas seulement directeur des projets FASI, il était directeur adjoint et également directeur général. Au cours de sa dernière année à la Fondation FASI, un directeur technique a été engagé pour le libérer de ses fonctions de directeur technique et directeur adjoint., et ainsi pouvoir exercer de directeur général, en l'absence de M. Estanis Vayreda, dont on se souvient est directeur de SUMAR-Société d'Action Sociale et exerce de maire adjoint de la ville d'Olot par l'ancien CDC. Bien qu'il ait déjà occupé le poste de PDG, juste avant d'être nommé à ce poste, par le même Conseil d'administration de la Fondation FASI, M. Calvo quitte ses fonctions de directeur général de la DGAIA. Les éducateurs qui ont travaillé à FASI et bien d'autres qui connaissent le projet Children's Homes savent que M. Calvo a été et est l'un des grands promoteurs et gestionnaires., de ses débuts à nos jours (d'où il est en congé) de ce projet parsemé d'irrégularités présumées, comme en témoigne le prestigieux groupe de journalistes Ramon Barnils dans l'article publié dans: http://www.media.cat/2017/06/ , où une étude rigoureuse est effectuée, et il est corroboré comment cette fondation paie des loyers exorbitants quintuple le prix du marché à une société immobilière appartenant à la même Fondation FASI.. Autrement dit, elle se paie des loyers gonflés avec de l'argent public, être une entreprise à but lucratif, tandis que FASI réduit l'argent des enfants à risque, leurs familles et les éducateurs sociaux avec lesquels nous travaillons. Pour nous, c'est une pratique perverse et méprisable: où les affaires se font avec la douleur de l'un des groupes les plus faibles de notre société: enfance à risque.
Article complet sur le site web de CGT Catalunya
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