avr 142022
 

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Ils ne nous le feront même pas croire, ils ne nous feront pas taire non plus

Ce qui était promis comme solution aux problèmes de la classe ouvrière n'a été qu'une nouvelle déception et un énorme échec.: la nouvelle réforme suppose la légitimation définitive et la consécration, par le gouvernement autoproclamé le plus progressiste de l'histoire, des aspects les plus préjudiciables qui étaient déjà avancés dans les réformes du travail des 2010 (Gouvernement Zapatero) je de la 2012 (gouverner Rajoy).

Entre autres problèmes, les mécanismes qui ont facilité les licenciements se poursuivent (aucune compensation ou frais de traitement ne sont récupérés), les raisons intangibles des prévisions économiques demeurent (les pertes prévues ou futures) pouvoir procéder à des licenciements collectifs, ou la non-intervention de l'autorité du travail dans les ORE.

Parmi les accords d'entreprise, seule l'égalité salariale est garantie, mais pas le reste. Et en matière d'externalisation, il faudra sans aucun doute se battre devant les tribunaux, puisqu'aucune solution claire n'est donnée à ceux qui font le même travail
mais ils ne reçoivent pas le même salaire.

en attendant, le coût de la vie continue d'augmenter à toute vitesse, sans que les revenus de la classe ouvrière augmentent au même rythme. Dans certains cas, avec la complicité active des syndicats majoritaires. Chez les autres, à cause d'une passivité étudiée par ceux qui gouvernent. Les biens de première nécessité arrivent à des prix record mois après mois. Ni les salaires ni les revenus de base n'ont une amélioration qui correspond à la hausse du coût de la vie. Sur tous les fronts, nous pouvons voir la même chose: des pensions non revalorisées, accords gelés…

On achète, Outre, alors qu'on commence à peine à payer les conséquences de la crise du Covid 19, ceux de la guerre d'Ukraine approchent. Le système capitaliste a déjà mis en marche ses rouages ​​pour que nous puissions redevenir des travailleurs
et des travailleurs qui assument les sacrifices et le feront comme toujours, avec la complicité des syndicats majoritaires, qui va certainement nous vendre une fois de plus, comme ils l'ont fait avec les réformes du travail, avec le soi-disant pacte des revenus.

La CGT ne se fera pas croire ni se taire, peu importe le nombre d'opérations de propagande menées par ceux qui ont promis de prendre d'assaut le ciel. Les conquêtes sociales se font dans la rue, pas dans les urnes. Les vraies conquêtes sociales, celles qui impliquent une véritable transformation, ils ne sont jamais sortis d'un pacte entre oligarchies.

Les droits se gagnent en combattant!

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